Comme chaque jour des millions de gens regardent le journal télévisé. Aussi face à cette frénésie je publie ici un ancien texte qui rend hommage à Guy Debord (suite).
Journal télévisé
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Comme chaque jour des millions de gens regardent le journal télévisé. Aussi face à cette frénésie je publie ici un ancien texte qui rend hommage à Guy Debord (suite).
Elle ne s’essouffle jamais. La ville est cet ensemble où naissent et renaissent, dans un perpétuel tourbillon, de bétonneuses infatigables, les bâtiments de chaque époque. S’y perdre, comme le faisaient les situationnistes, dans le dédale des rues, jusqu’à avoir le vertige de se retrouver dans un ailleurs, où plus rien ne nous semble familier. Partout des traces de vies passées, sans que rien ne puisse revenir de ces instants fugaces dont il ne reste que poussière. (suite)